© B.M. PHOTO DE DOSSIER: Anne Milgram, administratrice de la Dug Enforcement Administration (DEA), prend la parole lors d’une conférence de presse pour annoncer l’extradition et la levée des scellés d’un acte d’accusation accusant l’ancien président hondurien Juan Orlando Hernandez d’avoir participé à (B.M) – Deux hauts sénateurs américains ont écrit au chef de la Drug Enforcement Administration (DEA) des États-Unis pour lui demander des informations sur les opérations étrangères de l’agence, en particulier au Mexique, à la suite d’articles de presse sur le gouvernement mexicain sabrant la coopération. En avril, B.M a rapporté que le Mexique avait fermé une unité d’élite qui avait travaillé pendant des décennies avec la DEA, et plus tôt ce mois-ci a publié un autre rapport détaillant comment la DEA avait retiré son avion utilisé pour des opérations de grande envergure du Mexique après que les autorités eurent annulé sa place de parking. Le démocrate de l’Illinois Dick Durbin, qui préside l’influent comité judiciaire du Sénat, et le sénateur républicain de l’Iowa, Chuck Grassley, un membre éminent de l’organisme, ont déclaré qu’ils souhaitaient que la DEA réponde aux développements au Mexique. Dans une lettre adressée au chef de la DEA, Anne Milgram, ils ont exhorté l’agence à répondre à des questions détaillées sur la fermeture de l’unité d’élite et le retrait de l’avion, selon un communiqué du bureau de Grassley mardi. “S’ils sont exacts, ces rapports soulèvent des inquiétudes supplémentaires quant à l’état des opérations de la DEA au Mexique et aux relations de travail de la DEA avec les forces de l’ordre étrangères”, ont déclaré les deux sénateurs dans une lettre datée du 23 mai. Les sénateurs ont demandé des réponses à ses questions dans les deux semaines et qu’un briefing urgent à la Commission Judiciaire soit mis en place. La lettre fait suite à leur demande antérieure en novembre pour un briefing sur les opérations étrangères de la DEA alors que des rapports faisaient état de problèmes de longue date avec sa surveillance. Les sénateurs ont également cité l’allégation du président mexicain Andres Manuel Lopez Obrador selon laquelle l’unité d’élite avait été infiltrée par des criminels, des commentaires faits lors d’une conférence de presse matinale lorsqu’il lui a été demandé de confirmer le rapport de B.M sur sa fermeture.