B.M. PHOTO DE DOSSIER: Les commerçants travaillent sur le parquet de la Bourse de New York (NYSE) à New York, États-Unis, le 28 avril 2022. REUTERS / Brendan McDermid 2/2 Par Devik Jain et Echo Wang (B.M) – Fin des actions de Wall Street plus haut mardi après une séance agitée au cours de laquelle chacun des principaux indices a fluctué entre gains et pertes alors qu’une réunion clé de la Réserve fédérale commençait. Les investisseurs ont acheté des actions de sociétés financières et technologiques avant l’annonce attendue mercredi de la Fed. Neuf des 11 principaux secteurs ont progressé, avec l’énergie et les services financiers en hausse de 2,9 % et 1,3 %, respectivement. L’indice S&P 500 des banques a gagné 2 %, avec Citigroup Inc (NYSE 🙂 grimpant de 2,9 %. La banque centrale américaine a lancé mardi sa réunion politique de deux jours. Les commerçants voient une chance de 99,9% d’une hausse de 50 points de base mercredi, selon l’outil FedWatch de CME https://www.cmegroup.com/tools-information/quikstrike/treasury-watch.html, ce qui marquerait la plus forte hausse des taux par la Fed depuis mai 2000. [IRPR] Les projecteurs restent braqués sur la conférence de presse du président de la Fed, Jerome Powell, mercredi, pour des commentaires sur la trajectoire future des taux d’intérêt et la réduction du bilan. “Le principal moteur de toute la volatilité du marché au cours des derniers mois a été la rhétorique belliciste de la Fed et de la Fed, donc obtenir une mise à jour de leur part lors d’une conférence de presse Powell (mercredi) est un catalyseur majeur et je pense que le marché maintenant est en quelque sorte en mode attente », a déclaré Ross Mayfield, stratège en investissement chez Baird à Louisville, Kentucky. En avril, Wall Street a été martelée par l’incertitude entourant la capacité de la Fed à organiser un atterrissage en douceur de l’économie, les bénéfices mitigés de certaines grandes entreprises en croissance, la guerre en Ukraine et les blocages liés à la pandémie en Chine. Le s’est effondré de près de 13,3 % le mois dernier, sa pire performance mensuelle depuis octobre 2008, les actions à forte croissance et à forte croissance ayant subi la pression de la hausse des taux. Le a augmenté de 67,29 points, ou 0,2%, à 33 128,79, le S&P 500 a gagné 20,1 points, ou 0,48%, à 4 175,48 et le Nasdaq Composite a ajouté 27,74 points, ou 0,22%, à 12 563,76. Les indices ont été stimulés par des actions telles que Apple Inc (NASDAQ :), Tesla (NASDAQ 🙂 Inc et Exxon Mobil Corp (NYSE :), qui ont augmenté entre 0,7 % et 2,1 %. Estee Lauder (NYSE 🙂 Cos Inc a chuté de 5,8 % après que le fabricant de cosmétiques a réduit ses prévisions de bénéfices pour l’année entière en raison des nouvelles restrictions COVID-19 en Chine et de la crise russo-ukrainienne. Hilton Worldwide Holdings (NYSE 🙂 Inc a chuté de 4,2 % après que l’opérateur hôtelier ait prévu un sombre bénéfice pour l’année entière. Western Digital Corp (NASDAQ 🙂 a bondi de 14,5 % en tant que plus grand gagnant en pourcentage sur le S&P 500 après que l’investisseur activiste Elliott Investment Management a exhorté la société à séparer son activité Flash et a proposé d’investir 1 milliard de dollars pour faciliter une vente ou une scission du des affaires. Le volume sur les bourses américaines était de 11,35 milliards d’actions, contre une moyenne de 11,88 milliards pour la session complète au cours des 20 derniers jours de bourse. Les émissions en progression ont dépassé en nombre celles en baisse sur le NYSE par un ratio de 1,92 pour 1 ; sur le Nasdaq, un ratio de 1,26 pour 1 favorisait les avanceurs. Le S&P 500 a affiché 2 nouveaux plus hauts sur 52 semaines et 32 nouveaux plus bas ; le Nasdaq Composite a enregistré 29 nouveaux sommets et 195 nouveaux creux.